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Ton Refuge

Avec la série « Ton refuge », je questionne le moment de vie où l’être humain est capable de se poser. J’interroge la nécessité absolue de cet instant. Je cherche un espace, une présence, une situation où les individus que nous sommes, trouvons la paix, l’harmonie, la force créatrice.
Enfant, je me réfugiais sur un rocher de la plage de « Laurito » au sud de Naples. J’y passais des heures à refaire le monde. Souvent, mon père ou Maria, ma meilleure amie, m’accompagnait. Ce rocher était aussi une des étapes de la chasse au trésor que mes parents organisaient pour mon anniversaire, le 22 juillet.
Ce lieu, ce refuge est ancré en moi. Certains endroits m’ont parfois donné l’impression de retrouver ce « rocher » mais je crois qu’au fond de moi c’est une quête sans fin.
Après avoir vécue à Rome, Toronto et Barcelone, c’est à Paris que je me suis posée. Mon identité, ma place dans la société et mon enracinement sont des sujets qui font partie de mon ADN. J’aime à penser que je construis tous les jours mon refuge !
Si vous avez envie de raconter votre refuge et de le partager dans ce podcast n’hésitez pas à m’envoyer un mail pour m’en dire un peu plus
▶️ alessandra@alematproductions.com

Épisode 1

Quand j’ai parlé à Assia de son refuge, spontanément elle a pensé à son rocher en Irlande, cela a toute suite résonné avec le mien sur la plage de Laurito sur la côte amalfitaine au sud de Naples.
Aujourd’hui, elle continue à construire son refuge entre les souvenirs de sa mère et sa grand-mère et la forêt.

Un récit immersif en pleine nature !

Épisode 2

Thibaut déménage près de la Porte d’Orléans, il y a deux ans.
Après sa séparation, il quitte le 6ème arrondissement de Paris. Dans cette location il trouve son nouveau refuge. Une semaine sur deux il partage cet espace avec sa fille de 10 ans.
C’est ici qu’il écrit, c’est ici qu’il médite.

Épisode 3

Quand Anne-Sophie m’a parlé pour la première fois de ce lieu elle avait les yeux qui brillaient. Elle venait de s’y installer depuis peu, pour y travailler, pour écrire, pour dessiner, pour y faire des photos. Pour redonner du souffle à sa créativité. Nous sommes au deuxième étage d’un bâtiment industriel, anciennement lieu de stockage de denrées alimentaires et matières premières, au bout de la rue de Crimée, sur le canal de l’Ourcq.

Épisode 4

(à venir)